LA LUTTE BIOLOGIQUE
• Dans la jardinerie
Il est important de maintenir les plantes dans leur plus bel état, mais la lutte contre les insectes ravageurs n’y est pas aisée. Il est en effet très désagréable pour le personnel et les clients d’utiliser des pesticides.
Voilà pourquoi depuis 2002 nous avons décidé, avec l’appui du CEHW (Centre d’essais horticoles de Wallonie), d’y pratiquer une lutte essentiellement biologique. Des observations régulières permettent de détecter le début d’une attaque de ravageurs. Aussitôt, d’autres insectes utiles dits « prédateurs » sont introduits mettant fin à l’invasion.
Ne vous étonnez donc pas de trouver quelques insectes sur les plantes, ce sont sans doute nos auxilliaires …
• En culture de production
Une lutte raisonnée est ici aussi de rigueur. Lorsque l’usage de pesticides est nécessaire, c’est le plus souvent de façon localisée, dans le souci de limiter au maximum l’impact sur l’environnement.
L’ECONOMIE D’ENERGIE DANS LES TRANSPORTS
La proximité entre la jardinerie et le site de production permet d’éviter les longs transports inutiles et polluants, et garantit toujours la fraîcheur des produits.
L’IRRIGATION
La totalité des eaux de pluies ruisselant sur la toiture des serres est récoltée dans deux bassins. 600 000 litres peuvent ainsi être stockés pour ensuite être utilisés pour l’arrosage.
Sur cette photographie, vous pouvez apercevoir un des bassins destinés au stockage des eaux de pluies.
LES ENGRAIS VERTS
Durant l’automne et l’hiver, les champs libérés sont ensemencés d’engrais vert (par exemple semis de ray gras) pour entretenir le sol, empêcher la prolifération de mauvaises herbes, éviter l’érosion et empêcher la dissolution des engrais.
Au printemps, la masse organique sera labourée et servira de fumure.
LES CHEVAUX
Le cheval de trait belge, gloire nationale autrefois omniprésent dans nos villes et nos campagnes, s’est fait bien plus rare de nos jours. Pourtant, sa docilité, sa force, son courage et sa précision peuvent encore rendre de nombreux services.
En horticulture par exemple, nous travaillons régulièrement avec nos juments de trait. Dans des endroits difficiles d’accès au matériel lourd, pour du binage entre les lignes, pour tirer le traîneau et placer les pots sur le champ, travailler le sol dans les serres, semer les engrais verts, arracher les sapins de Noël, …
Une autre manière de travailler bien utile et aussi bien agréable.
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